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Membres / guenot pierre
Création du compte : 06-07-2010 à 18:49
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J'aime ... Flan De Cèpes Flambés Au Porto Et À La Ciboulette
Pour accompagner un délicieux filet mignon en croûte , je vous propose ce flan salé dont les cèpes peuvent bien sûr être remplacés par les champignons de votre choix.

Horloge et couverts : Pour 6 pièces ; Préparation : 20 minutes ; Cuisson : 35 minutes au bain-marie dans four préchauffé à 200°C
 1 bocal de cèpes (bien sûr si vous avez des frais c'est mieux)
 1 échalote
 1/2 verre de Porto
 1/4 de botte de ciboulette
 30g de beurre demi-sel
 Sel, poivre
 Appareil à flan : 200g de crème fraîche, 2 œufs, un peu de muscade fraîchement râpée.
Préparation :
 Préchauffer le four avec le bain-marie (un plat creux suffisamment grand pour contenir les ramequins et rempli d'eau) pour que ce dernier soit à bonne température.
 Ciseler l'échalote, égoutter soigneusement les cèpes et les couper en morceaux réguliers.
 Dans une poêle, sauter les échalotes et les champignons dans le beurre à feu assez vif. Verser le Porto et flamber. Saler, poivre et laisser cuire jusqu'à ce que toute l'eau de végétation se soit évaporée. Ajouter la ciboulette ciselée (en garder quelques brins pour décorer) et mélanger.
 Dans un bol, battre la crème avec les œufs, assaisonner de muscade.

Dans le four :
 Dans des petits ramequins bien beurrés, verser un peu de l'appareil à flan puis garnir des cèpes et recouvrir par le restant de flan.
 Enfourner pour 35 minutes à 200°C.

Touche finale : Démouler les flans et les décorer avec les brins de ciboulette.
J'aime pas ... Lettre de vœux 2011 de ma petite écriture. texte libre:
« LE POUVOIR » (d'une ou d'un Maire)
Il me semble que cela ne doive jamais finir.
La fatigue et l'âge m'accablent et pourtant je dois rester vigilant à mon poste.
Avec les dissidents, les opposants, la multitude de délinquants, le grand nombre de manifestants, et mes proches qui obligent ma présence, jour après jour, ils ont envahi ma tranquillité et s'y sont installés comme dans les écuries de Borgia*.
Je n'ai pas le courage pas le désir de m'occuper des attentes de mes concitoyens.
Quant aux techniciens, directeurs de « ci et de là » qui souvent manquent à leurs obligations eu égard à la population. Pourquoi je m'en plains, puisque qu'ils se dépensent sans compter pour pro¬mouvoir m'on image et pourtant, « ces pauvres hères* » me fatiguent et m'obligent.
La majorité du peuple m'a confié les clés de cette bourgade, cette majorité fond comme neige au so¬leil les mois passants.
Depuis tant et tant d'années, les services m'ont dépassé, il sans faut pour preuves l'état général de la ville : logement, circulation, stationnement, propreté, sécurité...
Mais, «Paradoxalement », mon esprit reste attentif à la grogne qui monte.
Nombreux sont mes proches qui depuis se vendent avec leur honneur, leurs engagements et leurs avantages. Quant à ceux qui restent, une poignée, on les trouve plus souvent à défendre leurs propres intérêts, qu'à l'écoute des quidams.
À mes remontrances ils répondent par des rires, des singularités ou des inepties.
Le jour viendra, qui est proche, où l'on me retrouvera, dépouillé de mes électeurs, des quelques sous gagnés par mes mandats et de l'ouvrage qui m'est chers « le repos ».
Et pour comble, les hommes chargés de garder la demeure (où durant les ultimes opérations d'em¬bellissement, travaux qui devraient être terminés depuis longtemps) sont plus souvent à boire le vin de nos vignes, à caresser les compagnes de travail, à écouter persiffler les merles...
En service histoire de toucher leur salaire où est leur devoir de me rendre chaque matin compte de leur mission ?
Qu'est-ce que je fous encore dans cette baraque ?
Bonne et heureuse année Le pouvoir.
*Les écuries de Borgia : Il avait tellement été indigne de son Pontificat aux yeux de ses contem¬porains qu'après sa mort ses successeurs ne voulurent pas habiter les pièces du Palais dans les¬quelles il avait vécu. En arrivant là-haut chez saint Pierre, il y rencontra peut-être Girolamo Savonarola, ce Père dominicain un peu particulier qu'il avait fait griller sur terre au feu de bois parce qu'il était un chrétien un peu trop zélé qui voulait nettoyer les écuries d'Augias Borgia,
* "hère » : Homme misérable. Jeune cerf ou jeune daim qui n'a pas encore ses premiers bois.
Commentaires - 4 éléments
Cipher le 2012-10-05 19:29:20
Joyeux Anniversaire
Pown le 2012-08-22 20:25:41
De rien
GP007 le 2011-03-13 14:11:26
La vie ne doit pas toujours être facile, ça c'est sûr... Puis l'âge fait prendre du recul, malgré une ignorance toujours d'actualité par le sort de la fatigue et de la blazante vie de maire
Cipher le 2010-10-05 19:49:06
Joyeux anniversaire a vous