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Films / Evil train
6.22/10
(9 notes)
Réalisé par Jeff Kwitny
Avec Mary Kohnert, Bo Svenson, Victoria Zinny, Savina Gersak et Sarah Conway Ciminera

Année de production : 1989
Date de sortie : inconnue
Durée : 1 heure 34 minutes
Titres alternatifs : Amok train

Genres : Epouvante-horreur
L’escapade d’une dizaine d’étudiants américains en Serbie tourne au cauchemar. Guidés par un inquiétant professeur, Mr. Marvolek, ceux-ci ne savent pas qu’ils sont les victimes désignées d’un rite ancestral, le rite des Noces de Satan. Porteuse d’une marque l’identifiant comme la Promise destinée au Diable, Beverly entraîne ses camarades vers la mort… Prisonnier d’un train filant à toute allure, les étudiants ne sont pas prêts de voir la fin du calvaire...
Commentaires - 1 élément
hcar1 le 2013-07-07 20:57:58
Amok Train aka Evil Train, censé faire partie d'un triptyque, est réalisé en 1989 par Jeff Kwitny. Un mec dont le dernier film remonte à 1993 et qui semble vraiment dégoûté du cinéma et des producteurs. Brusque retour de bâton, les spectateurs eux-mêmes ne peuvent être qu'excédés par ce metteur en scène. Evil Train enchaine un nombre incroyable de platitudes, d'incohérences aussi navrantes que la reprise du titre de Goldman Je Te donne des Worlds Apart (pardon aux midinettes) et offre un récit complètement abrutissant. Formellement, le film est assez laid bien que Kwitny a essayé d'installer une ambiance froide. Son histoire est un peu un resucé de Damien et d'Holocaust 2000 avec histoire de démon (ici Lucifer, Prince des Ténèbres), jeune pucelle destinée (malgré elle) à la copulation et humanité en péril. Evil Train contente, un peu, grâce à quelques séquences gores en maquillage traditionnel réussies. C'est tout.

Beverly est belle. Beverly est vierge. Rien d'alarmant. Avec des condisciples, elle se rend en Serbie afin d'être témoin d'une cérémonie séculaire. Malheureusement pour elle et ses faux amis, elle fait partie d'un plan où Lucifer la tient en haute estime...

Amok Train est une production bas de gamme : tournée entre la Bulgarie et la Serbie, elle pouvait laisser entrevoir un récit sympathique. Très vite, il apparaît que tout est fait pour navrer le spectateur. Dialogues débiles, comédiens à deux sous, montage affolant, mise en scène symptomatique des années 80 (enchainement de plans sans logique, script invisible...). C'est du lourd dans la catégorie des nanars et...je l'ai conseillée à tous ceux que je déteste ! 1/5 (mauvais)